Lyrics - Paroles de chansons

J'aimerais mieux ne plus te voir,
Si tu viens accompagné,
Si pour elle tu as ce regard,
C'est comme si tu me le volais.
C'est avec moi que tu levais ton verre.
C'est ma cigarette que tu allumais.
Je ne fume plus depuis l'hiver.
Fais vite la belle attends ton briquet.
C'est étrange comme on est poli,
Tu as oublié nos orages ?
C'est vrai qu'elle est jolie,
La nuit as-tu la même rage ?
Tu voulais ce que je ne donne pas.
On dirait que tu l'aimes ; déjà ?
Ce que j'avais tu n'en voulais pas.
Je suis aussi heureuse que toi.
Et dans tous les gestes si froids,
Qui accompagnent nos bla-bla,
S'inscrit la mort de toi et moi,
S'efface ce que je gardais dans moi.
J'aimerais mieux ne plus te voir,
Si tu viens accompagné,
Je vais garder dans ma mémoire,
Quand ce regard m'était destiné

Pour des moments comme ça,
Où tout est mélangé grâce
A quelque chose que je ne vois pas.

Pour les impressions profondes
Qui tatouent mes os de souvenirs,
Pour les accords complices.

Pour les têtes illuminées, hirsutes,
Allumées au même moment,
Qui éclairent comme en plein jour.

Pour vous retrouver un de ces jours.

Pour ces moments marrants,
Et parce que je sais maintenant
Qu'ils arrivent toujours.

Pour les odeurs de lendemains,
Qui rendent notre avenir incertain
Et pour aller plus vite.

Pour les grandes âmes douces que j'aime,
Qui savent partager le velours.

Pour vous retrouver un de ces jours

Lisa parle trop,
Lisa tu parles trop.

Elle vous embarque dans un flot.
Elle vous noie avec des mots.

Elle peut dire n'importe quoi.
A vrai dire, on n'écoute pas.

Et pour ses yeux qui brillent si fort.
On se dit qu'on peut attendre l'aurore.

Lisa parle trop,
Lisa tu parles trop.

On veut pas voir qu'elle nous ennuie.
Il est trop tard, trop de soucis.

Et quand elle pleure, on pleure aussi.
Et quand elle rit, on pleure aussi.

Mais ces yeux là disent tout bas :
Je parle trop, excusez-moi.

Lisa, t'excuse pas !

J'ai besoin de tes mains
Pour blottir ma bouche.
Là, elle ne dit plus de conneries

J'ai besoin de tes mains
A plein d'autres endroits
Qui ne connaissent que toi.

J'ai besoin de tes mains
Pour protéger mon corps
Des tentations et des sorts.

J'ai besoin de tes mains
Pose-les sur mes épaules
C'est mon cou que tu frôles

J'ai besoin de tes mains
Pour blottir mes mains

J'ai besoin de tes mains
Pour cacher ces trésors
Jusqu'à demain matin

Tu te souviens du bar ?
On a trinqué si souvent,
Quand se faisait le noir,
Se nouaient les amants.

On était partout derniers,
Pourtant servis les premiers,
On aurait dormi dehors,
Plutôt que de se quitter.

On en a fait des bastons,
Planqués sous le bar,
A coup de petits avions,
On se couchait toujours trop tard.

J'ai pas vu le jour
Pendant pas mal de temps
J'en ai eu des amours
Mais pas toi finalement.

Regarde-moi dans les yeux, je saurai si tu mens.
Si tes yeux sont fuyants, on ne sera jamais deux.

Regarde-moi dans les yeux, tu verras maintenant
Que j'ai toujours pensé qu'on pourrait être amants.

Les soirs où ça dansait,
Sur les tables en trinquant,
Y'en a pas un qui se souvenait,
Qu'il avait travaillé avant.

On avait un monde à nous,
Et on en avait besoin,
On faisait tourner la roue,
Juste à boire, dans un coin.

Tu te souviens du bar ?
On a trinqué si souvent,
Quand se faisait le noir,
Se nouaient les amants.

On était partout derniers,
Pourtant servis les premiers,
On aurait dormi dehors,
Plutôt que de se quitter.

Regarde-moi dans les yeux, je saurai si tu mens.
Si tes yeux sont fuyants, on ne sera jamais deux.

Regarde-moi dans les yeux, tu verras maintenant
Que j'ai toujours pensé qu'on pourrait être amants.

Regarde-moi dans les yeux, tu verras au-dedans
Que je ne pleure pas vraiment, que tout ça c'est qu'un jeu

Je suis fière et mon visage est découvert.
Je suis digne et je te respecte, mon père.
J'aime mes fesses et je t'aime, ma soeur
J'aime mes seins et j'aime aussi les tiens

Sincèrement je vous mélange, mes frères.
Dans la glace, je perçois bien vos lèvres.
Dans mes mains, je tiens vos seins, ma soeur.
Dans la mer, j'ai nagé loin, hier.

Je suis fière et mon visage est à l'envers.
Je suis digne et je t'inspecte, mon père.
Dans mes mains, je tiens vos seins, mes frères.
Je m'endors et je rêve de vous, ma soeur.

Je suis fière et mon visage est découvert

Je veux tellement garder la magie.
Je sais que tu mens, devant toi je faiblis
Et je sais que tu m'envies.

Je veux croire en des choses qui ne se touchent pas (x 2)

Cessez de me dire qu'il n'y a pas de magie.
Je continue de sourire même dans le noir.
Regardez comme je me marre.

Je veux croire en des choses qui ne se touchent pas (x 2)

Je ne veux pas perdre la magie.
Et si je ne comprends pas, je prends le pari
Que ça m'amusera aussi.

Je veux croire en des choses qui ne se touchent pas (x 2)

Je marche dans Paris et c'est l'été.
Y'a du pollen aussi, dans ma tête, je suis gaie.
Et j'veux pas descendre, et j'veux pas descendre.

Je lève la tête, je lève le nez.
Et si je suis bien que si j'ai bu
Tant pis.

Je marche très vite, je vais même courrir,
Jusqu'au prochain bar, la prochaine cuite,
J'en ai jamais marre.
Et j'veux pas descendre, et j'veux pas descendre.

Je lève la tête, je lève le nez.
Et si je suis bien que si j'ai bu
Tant pis.

Ca peut durer la vie, à juste aimer,
Et l'euphorie du prochain whisky
Me fait marcher.
Pour ne pas descendre, pour ne pas descendre.

Je lève la tête, je lève le nez.
Et si je suis bien que si j'ai bu
Tant pis

Comme c'est bon,
Quand petit à petit
Tu sors de ma tête.

Youpi, Yeah...

Comme c'est gai,
Quand même à petit pas
Je m'éloigne de toi.

Youpi, Yeah...

Comme c'est joyeux,
On ne se verra plus
Jamais

Youpi, Yeah...

Comme c'est joli,
Tes yeux qui pleurent
De jalousie.

Youpi, Yeah...

Voilà les nouvelles du fond
De l'est parisien.
Je prends tout de front
Et j'aime tout pour rien.

Je pointe à l'ANPE
Je me lève tard le matin.
Je vois le ciel tout bleu
Et je ne consomme rien.

J'ai besoin d'argent, d'argent
J'ai besoin de temps, de temps
Mais j'aime ma vie, tellement, tellement.

J'ai pas de robes du soir
Et je suis belle quand même.
Y'a rien dans mon placard
Et je t'aime, je t'aime, je t'aime.

Je fais ce que je veux
Du jour au lendemain
Ca durera ce que ça peut
Et j'en profite bien.

J'ai besoin d'argent, d'argent
J'ai besoin de temps, de temps
Mais j'aime ma vie, tellement, tellement.

Tant que tu es là
Surveillant de noyade,
J'ai la vie avec moi
Et pas de barricades

Si ces jours ont une fin,
J'aurai eu du bon temps,
J'ai mangé dans ta main
Et je t'aime tellement

J'ai besoin d'argent, d'argent
J'ai besoin de temps, de temps
Mais j'aime ma vie, tellement, tellement.

Ton silence pèse plus que ton absence
Parce qu'une absence ne pèse rien
Et que ton silence pèse aussi lourd que
Dix tonnes de béton crochetées à ma langue

Piercing...

Je n'ai pas voulu
Venir avec toi
Parce que j'avais peur du noir

Maintenant t'es perdu
Je vais dans le bois
Peut-être que c'est l'heure
Peut-être que c'est trop tard

Je te retrouve tout nu
Et autour de toi
Mille jolies lueurs
Des lutins de la foire

Je n'ai pas voulu
Venir avec toi
Parce que j'avais peur du noir